L’Evangile est doux, l’Evangile est vif

26 octobre 2018

L’Evangile est doux

Doux comme ce Bébé emmitouflé et sa Maman qui veille sur lui  ; comme ce fidèle qui prie avec l’aide du Nouveau Testament et sur lequel veillent Dieu, Jésus, Marie, un saint patron et un ange gardien. Comment serait-il possible que ce fidèle ne fasse pas de grandes oeuvres  ? D’autant plus que le Diable est impuissant face à cette posture. Profitons-en
pour accroître notre avantage face à cet adversaire si tenace : conservons cette position dans notre journée en imitant Jésus qui enseigne, qui soigne, qui pardonne, qui montre le chemin de l’Amour, qui compatit en pleurant, qui aime la simplicité des enfants, qui entraine ses
compagnons.
Seigneur, montre-nous ton chemin de simplicité.


L’Evangile est vif

Jésus n’est pas heureux avec ces marchands dans le temple c’est-à-dire avec ceux qui médisent après s’être donné la paix à l’église, avec ceux qui montrent leur foi comme les pharisiens, au premier rang, avec ceux qui transforment les commandements pris par Dieu à cause du péché des hommes en loi applicable seulement aux autres.
Il préfère Mère Teresa invisible dans son bidonville. Il aime ce fidèle qui balaie son église sans revendiquer le moindre honneur ou la moindre propriété.
Il craint les acclamations dans les grands stades pour les grands hommes. Il préfère un sourire discret et plein d’amour en forme de merci.
Jésus craint ceux qui dorment et préfère ceux qui veillent, comme il l’a fait au Mont des Oliviers ou dans le désert. Ils préfèrent ceux qui s’éloignent des fausses bonnes solutions humaines que l’on se trouve pour soi ou pour les autres. Il sait que cette facilité humaine instantanée n’est qu’une bombe à retardement dans le coeur de l’Homme, que la Vérité est le seul chemin.
Seigneur, épaule-nous, s’il te plait.