L’Assemblée nationale examine, du 12 au 27 mai, une loi sur l’« aide à mourir ». S’il était adopté le 27 mai, ce texte, parmi les plus permissifs au monde, menacerait les plus fragiles et remettrait en cause le respect dû à toute vie humaine.
Ne restons pas silencieux.
Ensemble, affirmons notre attachement à la dignité de chacun. Les soins palliatifs, capables de soulager les douleurs aigües, et soucieux d’un accompagnement, sont la véritable aide jusqu’au bout.
« On ne joue pas avec la vie »
Interpellez votre parlementaire !